Valencia : 50 nuances de bruits

Juin 3, 2025 | Valencia

Table des matières

(Ou comment perdre son audition avec style)

À Valencia, le bruit n’est pas un défaut, c’est une spécialité locale. D’ailleurs, en valencien, bruit se dit soroll, un terme que la ville a littéralement adopté avec amour.

À croire que le bruit a été inventé ici, breveté, célébré et exporté dans le monde entier. Petit détail amusant : le plus célèbre peintre valencien porte le doux nom de Sorolla, et la principale gare de la ville répond au même patronyme.

Coïncidence ? Je ne crois pas… Valencia, capitale de la communauté autonome éponyme, ne brille pas seulement par son soleil, sa gastronomie ou ses fêtes explosives, mais surtout par son incroyable talent à transformer chaque jour en une symphonie urbaine. Volets mécaniques, percussions sauvages, cris d’enfants, scooters désaccordés, tout participe à ce joyeux vacarme méditerranéen.

Bienvenue dans l’opéra permanent de la Méditerranée. Alors si vous voulez une expérience immersive façon ASMR urbain, mettez vos écouteurs à fond et préparez-vous à vivre l’ambiance sonore unique de Valencia !

1. Les Fallas, ou l’art de faire exploser les pétards dès potron-minet.

Les Fallas de Valencia, c’est un peu comme si la ville avait décidé de transformer le mois de mars en festival de décibels sous stéroïdes.

Des statues géantes de 20 mètres de haut, appelées ninots, sont brûlées dans une ambiance digne de l’Apocalypse version joyeuse.

Mais avant ça, place à la mascletà, cette explosion synchronisée de pétards à heure fixe (14h tapantes, merci d’avoir annulé ton déjeuner en terrasse).

Et attention : il ne s’agit pas de quelques pétards de fête d’anniversaire.

Non, non.

Chaque mascletà utilise jusqu’à 120 kilos de poudre. La municipalité de Valencia impose actuellement une limite de 275 kg de matériel explosif pour les mascletàs de la place de la mairie.

On ne regarde pas la mascletà, on la subit dans les organes.

Et comme le dit fièrement un local :

« Si tu ne l’as pas ressentie dans ta cage thoracique, ce n’était pas une vraie mascletà. »

2. Le scooter et la moto, des espèces locales bruyantes et invasives

Valencia sans scooter et sans moto c’est comme une paella sans riz : une absurdité.

Ils sont partout.

Devant toi, derrière toi, à côté de toi sur le trottoir (oui, même là).

De jour comme de nuit, ces bêtes mécaniques rugissent dans les ruelles d’El Cabanyal ou d’Extramurs, avec des pots d’échappement dignes d’une Formule 1 sponsorisée par l’Enfer.

On estime que plus de 10 % des trajets urbains à Valencia se font en deux-roues.

Et quand l’un d’eux décide de faire un tour à 3h du matin devant ton immeuble mal isolé, tu te dis qu’un bon vieux tram silencieux aurait aussi pu faire l’affaire.

Mais on n’est pas à Zurich ici.

3. Terrasses et karaokés spontanés : le concert permanent

Valencia bruit

Envie de déguster une clóchina en toute tranquillité ? Dommage.

Ta soirée se déroulera en direct live sous la symphonie suivante :

  • un enfant qui tape une cuillère contre un verre depuis 23 minutes ;
  • deux néerlandais qui chantent Bohemian Rhapsody en boucle depuis le brunch ;
  • un serveur qui, pour ne pas faire trois pas, hurle les commandes de bière comme un crieur du XIXe siècle.

Et pour couronner le tout, une vieille radio qui grésille sur Cadena 100, la station qui passe toujours la même chanson de Shakira depuis 2005.

À Valencia, même les conversations privées s’écoutent à trois tables.

Tu appelles ça de l’invasion de vie privée, ici, c’est ce qu’on appelle : la convivialité.

4. Percussion urbaine : le marteau-piqueur, instrument officiel de Valencia

Imaginer Valencia sans le doux chant des marteaux-piqueurs, c’est comme imaginer une paëlla avec du chorizo : complètement absurde.

À croire que le génie civil local a signé un pacte secret avec une marque de bouchons d’oreille. De jour comme de nuit, les rues vibrent au rythme mélodieux du bitume en morceaux et du béton qu’on fracasse gaiement.

Le concert perpétuel des travaux publics transforme chaque sortie en promenade poétique sous fond de musique industrielle.

Ne serait-ce finalement pas un subtil stratagème touristique pour nous rappeler que la modernisation de la ville ne dort jamais… et nous non plus ?

C’est souvent qu’un nouveau chantier commence.

Ton seul espoir de paix : t’exiler dans le parc du Turia.

Mais attention : même là, tu risques de tomber sur un groupe de zumba ou un jogger équipé d’un haut-parleur JBL.

5. Les pigeons qui se prennent pour des DJ

Valencia : 50 nuances de bruits

Tu les croyais inoffensifs ? Tu te trompais.

Les pigeons de Valencia ont du coffre, de la personnalité, et probablement un agent artistique.

Ils ne roucoulent pas : ils déclament.

Ils ne volent pas : ils font des raz-de-marée au-dessus de ton bocadillo de jamón.

Certains spécimens de la Plaza Redonda ou des Jardins de Monforte semblent avoir fusionné avec des klaxons.

Ils vivent en communauté, se déplacent en escadrilles et n’ont aucun respect pour les terrasses.

Mais bon, au moins, ils ne font pas de scooter.

6. Les portes qui explosent comme des pétards durant les Fallas

Il existe un art méconnu mais très répandu à Valencia : celui de claquer les portes avec une intensité quasi-théâtrale.

Chaque immeuble devient une salle de répétition pour aspirants pyrotechniciens : une porte d’entrée, une poignée mal tenue, et voilà un BOUM digne d’un pétard de mascletà.

Impossible de faire une sieste sans sursauter au moins trois fois à cause du voisin du deuxième qui rentre chez lui comme s’il lançait l’offensive finale.

La nuit, ce sont les retours de soirée qui déclenchent les meilleures performances acoustiques.

On a même soupçonné certains immeubles d’utiliser les portes comme système d’alerte anti-intrusion et je me demande parfois si les gens s’entraînent au quotidien pour le concours annuel du plus gros claqueur de portes.

7. Les fêtes de quartier (où tout le monde est DJ, mais personne n’est sobre)

L’Espagne adore ses fêtes de quartier. Valencia, elle, les chérit, les célèbre… et les amplifie jusqu’au délire acoustique. Que ce soit la Feria de Julio, les fêtes de San Vicente Mártir ou l’incontournable nuit de la Saint-Jean (San Juan pour les intimes), une chose est certaine : le calme est interdit par arrêté municipal. Le soir de la Saint-Jean, voici le programme officiel :

  • Transformation de la plage en gigantesque camping sauvage, où planter sa tente relève du sport olympique.
  • Installation sauvage de châteaux gonflables géants sur les trottoirs, probablement sponsorisés par la clinique orthopédique locale.
  • Une scène avec un DJ vintage directement importé des années 80, aux goûts musicaux douteux mais à la motivation intacte.

Côté ambiance sonore, préparez vos oreilles à :

  • Une overdose de reggaetón jusqu’à 4h du matin, histoire de faire vibrer votre âme (et votre tympan gauche).
  • Des classiques espagnols kitsch remixés par un DJ qui a visiblement raté son casting pour « La Fureur » en 1998.
  • Des animations micro dignes des meilleures kermesses de votre enfance, où l’on vous oblige à participer, surtout après trois verres de sangria.

Évidemment, tout ça est « autorisé par la mairie » jusqu’à 04h00 du matin. Minuit, à Valencia, c’est juste le début de soirée.

8. Les vendeurs ambulants de « Agua, cerveza, Coca-Cola »

Tu crois que la plage est un havre de paix ?

Tu poses ta serviette, tu t’allonges, tu fermes les yeux… et c’est là qu’il arrive.

Le vendeur ambulant de boissons.

Volume sonore moyen : 92 décibels. Fréquence de passage : toutes les 4 minutes.

« Aguaaa, cervezaaa, Coca-Colaaa » – sans pause, sans respiration, sans aucune pitié.

Même à la sieste, ton cerveau continue d’entendre l’écho de son cri de guerre.

Et si tu crois l’éviter en allant aux Jardins de Viveros, sache qu’ils y opèrent aussi, souvent en duo avec le vendeur de lunettes contrefaites.

9. Les enfants en mode turbo sur les plazas

Tu veux prendre un café sur une jolie place comme la Plaza del Patriarca ou la Plaza Doctor Collado ?

Prépare-toi à assister à un Grand Prix miniature.

Trottinettes, ballons, cris perçants, disputes simulées mais criées à plein poumons…

Et toujours ce petit qui hurle « ¡Mamáááááá! » comme s’il venait d’être abandonné dans la jungle alors qu’elle est à 1m20.

Pas de pause, pas de filtre, pas de bouton « mute ».

10. Les alarmes de voiture ou de maison… qui hurlent pour rien (et longtemps)

Tu n’as rien fait, personne n’a rien touché, et pourtant une alarme de voiture vient de se déclencher.

Il n’y a pourtant pas d’intrusion mais l’alarme de tes voisins décide de se déclencher, et de réveiller (et de déranger) tout le quartier.

Et pas une petite sonnerie discrète. Non.

Une véritable sirène digne d’un film catastrophe américain.

Personne ne réagit. Le propriétaire ? Probablement en week-end à Gandía.

Toi ? Tu te demandes si ton oreille droite vient de fondre.

Et comme les alarmes durent en moyenne 3 à 7 minutes, tu as largement le temps de remettre en question tes choix de logement.

11. Les sirènes… toujours les sirènes

Pompiers, ambulances, police locale, nationale ou gardia civil.

Valencia semble entretenir une tradition de sirènes qui traversent la ville à toute heure avec un enthousiasme sonore non dissimulé.

La particularité locale : chaque service a sa propre sonorité… et ils aiment les utiliser en même temps.

Tu n’es jamais loin d’un bon vieux combo sirène + klaxon + juron.

12. Les chiens bavards du quartier

À Valencia, on n’a pas besoin de sonnette.

On a les chiens.

Qu’ils soient en terrasse, sur un balcon ou dans un patio, ils sont prêts à commenter chaque mouvement humain ou canin qui passe à proximité.

Bruits de pas ? Aboiement.

Autre chien ? Aboiement collectif.

Feuille qui tombe ? Aboiement en solo.

Et quand l’un commence, c’est tout l’immeuble qui suit.

Tu voulais du silence ?

Adopte un chat.

13. Le commérage de quartier : volume illimité

Tu crois que les abuelas espagnoles se contentent de faire des biscuits et de regarder les telenovelas ?

Erreur.

Elles sont aussi expertes en surveillance sonore de quartier.

Accoudées aux balcons, elles discutent à voix haute – pour ne pas dire en criant – de la vie de tout le monde (et surtout des absents).

« T’as vu la voisine du 3e ? Elle rentre toujours avec un autre. »

Le tout entre deux parties de Scrabble oral et une observation détaillée des vêtements étendus d’en face.

Et si tu entends ton prénom ? C’est trop tard, t’es dans le radar.

14. L’afilador de cuchillos (et sa flûte infernale)

Le vrai fantôme sonore de Valencia, c’est lui.

Tu crois à une hallucination, un son venu d’un autre monde…

Mais non. C’est l’affûteur de couteaux.

Il débarque à vélo, équipé d’une flûte stridente jouée dans un mégaphone rouillé, et d’un cri qui te ferait croire que la guerre civile recommence.

« EL AFILADOOOOOORRRR »

Il passe quand tu bosses, il passe quand tu dors, il passe quand tu t’y attends le moins.

Et tu ne lui as jamais confié un seul couteau.

15. Le camion-poubelle et la symphonie du verre à défaut du vert

Tu dors paisiblement.

Puis, soudain, un fracas.

Tu penses à un accident.

Mais non, c’est juste le conteneur à verre vidé dans un camion, à 2h du matin.

Suivi du bruit de chaînes, de bennes qui claquent et de conversations d’éboueurs en mode shout-casting.

Un concert improvisé pour noctambules involontaires.

Et ça recommence chaque semaine.

16. Le haut-parleur humain en voiture (ou comment tout entendre sans le vouloir)

Ici, la voiture n’est pas seulement un moyen de transport.

C’est aussi une salle de réunion téléphonique mobile.

Moteur allumé, fenêtres baissées, haut-parleur activé… et voilà que tu assistes à une discussion entre un oncle à Zaragoza et une cousine à Denia sur la vente d’un canapé.

« ¡QUE TE DIGO QUE ME LO LLEVES A CASA, COÑO! »

Tu apprends tout, sans l’avoir demandé.

Un vrai service public.

17. Les meubles dansent chez les voisins

À Valencia, les meubles ont une vie.

Ils bougent.

Souvent.

À toute heure.

Le voisin du dessus semble redécorer son salon tous les deux jours.

Canapé déplacé, table traînée, lit secoué… on dirait une chorégraphie de déménagement perpétuel.

Et comme les sols sont en carrelage, le son se propage avec une netteté quasi acoustique.

Tu en viens à reconnaître les meubles un par un à l’oreille.

18. La circulation sur les grands axes : le ronronnement permanent

Tu aimes les sons constants, les ambiances de fond, les nappes sonores sans fin ?

Bienvenue sur l’Avenida del Cid, Blasco Ibáñez ou encore la Gran Vía.

Un flot ininterrompu de voitures, freins qui couinent, klaxons énervés et redémarrages nerveux.

Jour et nuit, c’est une douce mélodie de stress motorisé, un ASMR urbain pour insomniaques.

Bonus : entre 8h et 9h, tu peux entendre au moins 27 injures créatives criées à travers les vitres fermées.

19. Les bus, toujours pressés de faire leur entrée

Le bus EMT, c’est un peu le gros oncle qui entre sans frapper.

Il freine en râlant, il redémarre en soufflant, il grogne au moindre ralentisseur.

Certains modèles semblent propulsés au cri de mammouth.

Et quand deux bus se croisent dans une rue étroite ? C’est comme regarder deux baleines faire demi-tour dans une baignoire.

Ajoute à ça la voix robotisée criant « Próxima parada… » à 110 dB.

20. Les camions de livraison : le réveil du quartier

5h45. Une ruelle tranquille. Le soleil n’est même pas levé.

BIP-BIP-BIP-BIP — voilà le bruit de recul du camion de livraison de superettes.

Suivi du bruit des bennes, des cageots qui tombent, des grilles qui grincent.

Tu ouvres un œil, tu veux croire que c’est un rêve.

Mais non. C’est juste Mercadona qui réapprovisionne son rayon yaourts.

Et le livreur qui discute au téléphone sur haut-parleur en même temps.

21. Les bouteilles de gaz qui tombent du ciel

À Valencia, le livreur de bombonas (bouteilles de gaz) est un personnage mythique.

Il arrive dans un pick-up orange, hurle « ¡El gaaaas! » avec un timbre hérité d’une vie antérieure de chanteur d’opéra, et balance les bouteilles pleines au sol comme s’il voulait réveiller tout le quartier.

Le bruit du métal contre le béton ? Inimitable.

Chaque livraison est une performance acoustique de 3 minutes, suivie d’un silence gêné de tout l’immeuble.

22. Le home cinéma du voisin (sans cinéma, mais avec le son)

Ton voisin a du goût.

Il aime les films d’action. Il aime les jeux vidéo. Il aime le reggaetón.

Et il aime le partager.

À 15h. À 22h. À 3h12 du matin.

Tu n’as pas Netflix, mais tu entends Fast & Furious 8 avec une clarté étonnante.

Le mur tremble, les basses vibrent, les dialogues résonnent.

Et toi, tu connais maintenant les répliques par cœur.

23. Les chantiers de béton éternel

Dans certaines rues de Valencia, il y a toujours un immeuble en construction.

On ne sait pas si ça avance, mais ça fait du bruit.

Marteaux, bétonneuses, grues, alarmes de sécurité, hurlements de consignes en plein air…

C’est un opéra industriel quotidien.

Et le top, c’est quand le chantier commence à l’aube et que, vers 13h30, tout s’arrête : c’est la pause.

Juste quand tu étais en réunion Zoom.

24. Les tramways et trains de banlieue : rails qui chantent et freins qui pleurent

Tu montes dans un Cercanías Renfe ou un tram de la ligne 10 et tu penses profiter du silence méditatif du transport moderne ?

Raté.

À chaque virage, un couinement métallique.

À chaque arrêt, un gémissement de freins.

Et entre deux stations, une voix automatique prononce « Sant Isidre » comme s’il s’agissait d’un sort interdit de Harry Potter.

Mention spéciale aux annonces surprises et aux passagers qui prennent l’appel en mode haut-parleur collectif.

25. Les volets roulants de commerce : BOUM, GRRRR, CLACK

Il est 7h58. Tu dors encore. La rue est calme. Et soudain : GRRRRRRRRRRRAAAAAANKKKK.

C’est le bruit d’un volet métallique de boutique qui s’ouvre avec toute la délicatesse d’un tremblement de terre.

Puis BOUM contre le sol. Et parfois, pour varier les plaisirs, un petit CLACK-CLACK s’ajoute au final.

À Valencia, les volets roulants ne s’ouvrent pas discrètement : ils annoncent au quartier entier que oui, la boutique de téléphonie est bien ouverte.

Et toi, t’es réveillé pour de bon.

26. …

Bon, avec tout ce vacarme permanent, je manque carrément de sommeil et je suis tombé à cour d’inspiration. Mais c’est promis, je reviens prochainement avec la suite, car Valencia ne tarit pas de sources de bruits.

Finalement, pourquoi reste-t-on à Valencia ?

Parce qu’on est masochiste ?

Non (enfin… peut-être).

Parce que malgré son volume sonore permanent, Valencia est irrésistible.

On y mange bien, on y bronze bien, on y parle (fort) avec tout le monde, on y vit.

La lumière est belle, la mer est proche, les gens sourient — même quand ils klaxonnent.

Tu t’y habitues.

Tu finis même par aimer cette cacophonie.

Un peu comme on aime un vieil oncle bourru qui parle trop fort au repas de famille : on ne l’échangerait pour rien au monde.

Et ton site web dans tout ce vacarme ?

À Valencia, le bruit fait partie du décor. Mais sur le web, pour se faire entendre, il vaut mieux miser sur une stratégie SEO bien pensée que sur une mascletà à 120 décibels.

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Devis

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